23 mars 2017
Con mis manos de ángel / Livre d'artistes
Con mis manos de ángel
peintures et collages : José San Martin
transferts photographiques, peintures et calligraphie : León Diaz Ronda
texte : Tomas Paredes
édition bilingue (traduit de l'espagnol par A. Diaz Ronda)
43e ouvrage de la collection Manos de José San Martin
26 x 25 cm - couverture à rabats
création : 2006
édition originale à 9 exemplaires numérotés et signés par les auteurs
TGV 9h32 / Livre d'artiste
TGV 9h32
transferts photographiques et peintures : León Diaz Ronda
texte : Claude Lacroix
26 x 17,5 cm - couverture à rabats
création : 2011
édition originale à 6 exemplaires numérotés et signés par les auteurs
Voyage / Livre d'artistes
Voyage
peintures et collages : José San Martin
transferts photographiques et peintures : León Diaz Ronda
texte : Didier Le Fur
68e ouvrage de la collection Manos de José San Martin
26 x 16 cm - couverture à rabats
création : 2010
édition originale à 9 exemplaires numérotés et signés par les auteurs
21 mars 2017
Babel / Livre d'artistes
Babel
peintures et collages : José San Martin
texte et calligraphie : León Diaz Ronda
traduit de l'espagnol par A. Diaz Ronda
édition bilingue
82e ouvrage de la collection Manos de José San Martin
41 x 20 cm - couverture à rabats
création : 2012
édition originale à 6 exemplaires numérotés et signés par les auteurs
Une sorcière / Livre d'artistes
Une sorcière
peintures et collages : José San Martin
transferts photographiques et peintures : León Diaz Ronda
texte : Dominique Fabre
83e ouvrage de la collection Manos de José San Martin
26 x 18,5 cm - couverture à rabats
création : 2013
édition originale à 9 exemplaires numérotés et signés par les auteurs
Antes y luego / Livre d'artistes
Antes y luego / Autrefois et par la suite
peintures et collages : José San Martin
texte et calligraphie : León Diaz Ronda
traduit de l'espagnol par A. Diaz Ronda
édition bilingue
81e ouvrage de la collection Manos de José San Martin
25,5 x 12 cm - couverture à rabats
création : 2014
édition originale à 6 exemplaires numérotés et signés par les auteurs
Compter-Conter / Livre d'artistes
Compter-Conter
texte et calligraphie : León Diaz Ronda
84e ouvrage de la collection Manos de José San Martin
30 x 21,5 cm - couverture à rabats
création : 2014
édition originale à 6 exemplaires numérotés et signés par les auteurs
11 févr. 2017
Andrea d'Urso | "Tournée poétique" | 9-16 mars
Andrea d’Urso est invité, du 9 au 16 mars 2017, dans le cadre
d’une tournée poétique en France organisée par Dixit Poétic et la Maison
de la Poésie de Nantes, pour son recueil "Occident Express" (traduit de l'italien par Muriel Morelli, Le Grand Os, 2010)
Jeudi 9 mars | Reims (51) | Médiathèque
Vendredi 10 mars | Saint-Thurial (35) | Médiathèque (par Dixit Poétic)
Samedi 11 mars | Rennes (35) | Maison de la Poésie de Rennes
Mercredi 15 mars | Nantes (44) | Lieu Unique (par la Maison de la Poésie de Nantes)
Jeudi 16 | Grenoble (38) | Maison de l'international | (par la Maison de la Poésie R. A.)
Vendredi 10 mars | Saint-Thurial (35) | Médiathèque (par Dixit Poétic)
Samedi 11 mars | Rennes (35) | Maison de la Poésie de Rennes
Mercredi 15 mars | Nantes (44) | Lieu Unique (par la Maison de la Poésie de Nantes)
Jeudi 16 | Grenoble (38) | Maison de l'international | (par la Maison de la Poésie R. A.)
16 déc. 2016
Ana Tot et le minotaure / par G.MAR
" Où commence
dans une œuvre l’instant où les mots deviennent plus forts que leur sens ?
Quand la prose d’Ana Tot, et sa mécanique retorse imposée au logos dans toute l’étendue du sens que
les grecs antiques conféraient à ce mot, à la fois langage et raison, perd-elle
son nom de prose ? Chaque phrase ne se laisse-t-elle pas comprendre ?
Chaque suite de phrases n’est-elle pas logique ? Les mots ne disent-ils
pas ce qu’ils veulent dire (littéralement dans tous les sens du terme
comme disait Rimbaud) ? A quel instant, dans ce dédale aux murs maçonnés
de mots clairs le sens s’est-il égaré ? A quel nouveau dictionnaire (nouveau
territoire du sens) Ana Tot contraint-elle les noms de s’expatrier ? A
quel embranchement, quel détour, le raisonnement le plus circonspect
s’aperçoit-il qu’il a cessé de suivre le fil censé lui assurer la possibilité
de faire marche arrière pour revenir à lui-même (hors du labyrinthe), fort de
toutes ses certitudes passées ? Ce fil, perdu, fût-il retrouvé ne serait à
coup sûr plus le même, et l’auteur de cette prose vissée sur le noyau vide du
sens depuis lequel sa prose rayonne, et en lequel il nous perd, ne s’étonne
même plus qu’un autre, en lui-même, a pris sa place au cœur du labyrinthe, et
que le miroir en lequel son identité (ses mots) se reflète, n’est qu’un miroir
déformant. (...) "
G.MAR
à propos de "méca" d'Ana Tot (éd. Le Cadran ligné, 2016)
sur son blog La Part du mythe
26 nov. 2016
Exposition & lecture / Toulouse / 2-3-4 décembre
du vendredi 2 au dimanche 4 décembre 2016
"L'Atelier fait boutique"
8 rue de l'Etoile / Toulouse
8 rue de l'Etoile / Toulouse
Hélène Jous et Karine Marco ouvrent leur atelier à Cérette Meyer, Marie Frécon, La Juponnerie, Mlle, Hélène Barros, aux éditions de La Lanterne
et aux éditions Le Grand Os
vendredi de 14 à 19h
samedi de 11h à 19h
dimanche de 11h à 17h
entrée libre
+ Lecture d'Ana Tot
le dimanche 4 déc. à 15h 6 nov. 2016
Lecture de Occident Express par le Muerto Coco / Toulouse et Montpellier
Lecture intégrale de Occident Express d'Andrea d'Urso
(trad. de l'italien par Muriel Morelli, Le Grand Os, 2010)
(trad. de l'italien par Muriel Morelli, Le Grand Os, 2010)
Mardi 22 novembre 2016 à 19h30
à la Cave Poésie René Gouzenne de Toulouse
dans le cadre des Rugissants
Jeudi 24 novembre 2016 à 19h
à La Baignoire (lieu des écritures contemporaines)
à Montpellier
28 oct. 2016
Salon L'Autre Livre / 11-13 nov 2016 / Paris
Le grand os vous attend sur le stand D-07 au 14e salon international des éditeurs indépendants, L'Autre Livre, qui se tiendra à l'Espace des Blancs-Manteaux, dans le Marais, à Paris, du vendredi 11 au dimanche 13 novembre 2016.
L'occasion de rencontrer les auteurs Ana Tot et Laurent Albarracin, ce dernier présentera en outre les ouvrages qu'il édite au Cadran ligné.
Salon L'Autre Livre
Espace des Blancs-Manteaux
48 rue Vieille-du-Temple
75004 Paris
(Métro Hôtel de Ville)
Entrée gratuite
vendredi 13 / 14h-21h
samedi 14 / 11h-21h
dimanche 15 / 11h-19h
31 août 2016
Le Grand Os à Cahors | 3 - 28 sept
Du 3 au 28 septembre
Exposition LE GRAND OS
éditions & livres d'artistes
+ peintures de León Diaz Ronda
+ photographies de Alain Moïse Arbib
+ peintures de León Diaz Ronda
+ photographies de Alain Moïse Arbib
Vernissage le samedi 3 septembre à 11h30
samedi 24 septembre :
- 14 h - 17 h : Atelier d'écriture autour des éditions Le Grand os
proposé par l'Humus des mots
- 17 h 30 : Rencontre et lecture bilingue français-espagnol
par Aurelio Diaz Ronda et Huilo Ruales Hualca
4 août 2016
méca / Ana Tot
titre : méca : camées
auteur : Ana TOT
éditeur : Le Cadran ligné
72 pages / 13 x 20 cm / dos carré cousu
isbn : 978-2-9543696-5-5
parution : juin 2016
13 €
Extraits :
http://hublots2.blogspot.fr/2016/06/il-faut-croire-laller-du-ca.html
http://litteraturedepartout.hautetfort.com/archive/2016/08/22/ana-tot-meca-5837952.html
http://litteraturedepartout.hautetfort.com/archive/2016/08/22/ana-tot-meca-5837952.html
Revue de presse :
« Nous voici minautorisés, le monstrueux de la langue, son polymorphisme originel (polysémisme pervers) placé au centre de notre édifice de pensées aux murs maçonnés de mots clairs pointe ses cornes à chaque phrase. Le refoulé de la langue transparaît, travaillant celle-ci du dedans, bras énormes et mufle de taureau placé dans une boîte de Schrödinger nous meuglant je suis là et je ne suis pas là. N’en déplaise à Parménide et son disciple Zénon : l’être n’est pas seulement ce qu’il est. Ana Tot est un monstre. Nous sommes bons pour la manducation. »
G.MAR, La Part du mythe, 30 novembre 2016. Lire tout l'article
« Il y a une logique dans tout ça. Et la logique, dans ce petit livre, importe. Quand bien même elle tient parfois du syllogisme. Une logique inquiète, qui inquiète celui qui s’inquiète et tente alors de tirer ça au clair. Beckett n’est pas loin, il rode. Comme un fantôme amical plutôt que comme une présence écrasante. »
Guillaume Contré, Le Matricule des anges n°177, octobre 2016. Lire tout l'article
« A Machin, Machine, Ana Tot parle, non sans humour et facétie, de moult machins-trucs existentiels, en le faisant en marche avant dans un 'en avant, marche!', faisant parfois machine arrière, en parle et reparle en sens giratoire et en girouette, en sens versé inspiré, traversé, inversé, renversé, expiré, sensé, et insensé censé sensé. »
Isabelle Dalbe, Où va écrire ?, 1er oct. 2016. Lire tout l'article
« Le lecteur est plus immédiatement sensible au fait d’être emporté dans un labyrinthe de mots et d’être contraint de relire pour saisir le fonctionnement d’une rhétorique souvent subtile. Emporté aussi dans la jubilation d’une écriture qui joue sans cesse avec la syntaxe ou, parfois, avec des consonances en série (...) Et séduit par un lyrisme discret, quand la narratrice, à plusieurs endroits, se dédouble (...) On relit plusieurs fois ce petit livre foisonnant de vie. »
Tristan Hordé, Sitaudis, 21 sept. 2016. Lire tout l'article
« Esquivant tout systématisme malgré sa hargne systémique, s’appuyant sur l’humour pour faire affleurer l’éventuel tragique, la machine méca, par sa scansion performative, se mue lentement mais sûrement en traité de savoir-survivre : dans la langue, à sa périphérie, avec les armes du corps articulant. A cet égard, les derniers textes du livre – disons les trois ou quatre derniers – montrent si besoin est que toute linguistique incarnée est une machine de guerre. »
Claro, Le Clavier cannibale, 3 sept. 2016. Lire tout l'article
« La lecture du poème est semblable à une coulée de lave, à la pointe de laquelle bout la pensée comme un événement ; la parole travaille, se fait travailler dans le poème jusqu’à ce que des énoncés doués de signification — et même proprement philosophiques parfois — émergent — à la surface — comme un hoquet du sens. À mi-chemin du textualisme et du spéculatif, comme si Hegel était une possibilité, un événement de Pennequin. »
Pierre Vinclair, Poezibao, 8 août 2016. Lire tout l'article
« En partant d'expressions courantes telles que "tomber sur", "être attaché à", "pour en finir avec", "être dupe", de situations cocasses ou de la découpe d'un saucisson, l'auteur nous entraîne dans la mécanique d'une langue qui prolifère et s'affole, où la pensée se construit et se déconstruit tour à tour. Répétitions, paradoxes, combinaisons, variations obsédantes participent d'une expérience de lecture vertigineuse. »
Romain Verger
6 juil. 2016
À propos de "Ainsi fut fondée Carnaby Street" (4)
Eric Darsan a lu Ainsi fut fondée Carnaby Street et nous livre ses impressions dans une chronique puissante, collant au plus près, sur le fond comme sur la forme, au texte du jeune Leopoldo María Panero. Extraits :
"Cosmogonie. Psychanalyse des contes défaits. Instantanés. Polaroïd. Tables de la Loi et tabloïds. Fables déphasées. Mythologie enfantine. Enumération. Accumulations. Strates. Poétique des ruines. Pulp fiction. Comics. Strips. Bandes dessinées, découpées, flip-book dont le fil de la reliure serait rompu, les cartes mélangées. Miroirs en bris lancés à l'inconscient du lecteur. Qui retombent en pluie et fracas aux pieds de celui-ci, emportant avec eux un visage qu'il croit être le sien. Portrait d'une époque à laquelle il n'eut peut-être cru ni vrai ni même bon d'appartenir, et dans laquelle cependant il se reconnaît bel et bien. Et quand ce lecteur, surpris et inquiet, se baisse pour le récupérer, il lui renvoie par ricochet, en plein entre les deux yeux, les apparats d'un temps qu'il revêt malgré lui. (…)
Prophéties. D'un Monde (révolu). De Mondes engloutis (depuis). Le Monde des adultes, consenti, résigné, évident, de l'esprit de sérieux. Monde mimé. Simagrées. Monde de « petits singes disséqués ». Capsule temporelle. Regrets éternels. Name dropping, nommagite aigüe, lâcher de noms qui résonnent plus ou moins, c'est selon. « King kong assasssiné. Comme Zapata. Pourquoi pas Maïakovski. Ou même Pavese. » Marina Tsvetaïeva. Martyres et révoltés, tous sacrifiés pour avoir joué le jeu d'une façon ou d'une autre. Icônes qui déconnent. Déconnectées. Figées à tout jamais. Echos de Jim (« Aujourd’hui les portes de toutes les salles de projection sont faites d’acier. Le cinéma exclut-il la lumière ou inclut-il l’obscurité ? » Arden lointain). Le poème de Sacco et Vanzettti. Le poème d'Hercule Poirot. Hommage à Dashiell Hammett. Hommage à Caryl Chessman (et mode d'emploi des chambres à gaz américaines). Hommage à Bonnie and Clyde. Hommage à Leopoldo María Panero, mort il y a deux ans à peine."
Eric Darsan, Lire l'article complet
Ainsi fut fondée Carnaby Street, de Leopoldo María Panero
Traduit de l'espagnol par Victor Martinez et Aurelio Diaz Ronda. Le grand os, 2015
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